Il ne s’agit pas d’un livre d’AT. C’est un livre sur les conflits, que l’auteur examine au travers non seulement des outils de l’AT (même si l’AT occupe une large place dans les conceptualisations et si elle est la théorie citée dans le sous-titre), mais aussi d’autres conceptualisations qu’Agnès Le Guernic a acquises au fil des années. C’est un point fort, à mes yeux, de mêler l’AT à d’autres cadres de référence. Cela confère à l’AT une place centrale, sans pour autant la mettre à l’écart, comme si elle méritait ou avait besoin d’être à part (un peu dans la veine du récent article « Script » de Melchor Batista[1] nous invitant à ouvrir l’AT à la sphère académique).
Catégorie : Lectures
Annonce de la conférence et interview par l’écho de Corrèze
KARÈNE BELLINA m’a interviewée à propos de la méthode que je propose pour sortir des conflits. Vous trouverez l’article paru dans l’écho de Corrèze. C’est un pdf. Cliquez sur le titre du document.
En mal d’un « chez soi », de Nada Abillama-Masson
Le titre du livre nous indique l’essentiel de son propos : les enfants qu’on place dans des foyers éducatifs ou des maisons d’enfants pour les protéger de la maltraitance ou des défaillances de leur entourage, restent toute leur vie marqués par le regret du chez soi perdu.
La fabrique de la défiance et comment s’en sortir.
C’est un nouveau livre sur le mal français, écrit par trois économistes, Yann Algan, Pierre Cahuc et André Zylberberg, qui s’appuient sur des données statistiques précises pour décrire l’étendue des ravages en France de la défiance généralisée. « La défiance est au cœur de notre mal. Elle détruit inexorablement notre lien social. Nous souffrons d’un manque de coopération et de réciprocité .. Le fonctionnement hiérarchique et élitiste de l’école nourrit celui des entreprises et de l’état. »
Qui va éteindre la lumière?
Les groupes peuvent-ils fonctionner sans leader responsable ?
Lors de la conférence que j’ai donnée le 12 mars à la médiathèque de Tulle sur « les conflits au travail et à la maison », une personne m’a posé la question de la gestion des conflits dans des groupes qui ont décidé de fonctionner sans leader.