J’aborde les conflits d’un point de vue dynamique : le conflit, pour moi, est un problème pour celui qui veut en sortir. Ce n’est pas un problème pour celui qui y trouve des stimulations, même s’il s’en plaint. Or l’approche habituelle est de considérer qu’il y a conflit quand deux personnes ou plus ont un problème entre elles et en sont conscientes. J’entre donc dans la résolution des conflits par la motivation à en sortir. Je mets en avant une manière de réfléchir et une méthode pour agir.
Catégorie : Communiquer et s’exprimer
Une question de confiance
La crise entraine la défiance : défiance à l’égard des financiers, des politiques, des intellectuels, des étrangers et même des chômeurs ! Mais en France, on n‘aurait pas besoin de crise pour vivre dans la défiance, si l’on en croit les trois économistes qui viennent de publier « La fabrique de la défiance et comment s’en sortir »[1].
De l’inconvénient de juger les autres et de leur faire la leçon
Pourquoi détestons-nous autant nous sentir jugés, critiqués ? Pourquoi réagissons-nous vivement quand on nous fait la leçon ? Parce que, bien qu’étant des adultes, nous nous sentons traités comme si nous étions des enfants face à des parents autoritaires qui nous jugent et nous dévalorisent.
Changer son regard sur soi-même et sur l’autre
Les positions de vie de l’analyse transactionnelle.
En cas de difficulté, chacun a spontanément tendance à s’attribuer la responsabilité de ce qui ne va pas ou de l’attribuer à quelqu’un d’autre, un proche de préférence : « C’est de ma faute ! » dit l’un. « C’est de ta faute, dit l’autre ».Cela s’applique aux petites choses comme aux grandes.
Faire attention à l’autre
Dire que l’être humain est un être social et qu’il a besoin de l’attention des autres paraît une banalité. Il suffit de regarder les très jeunes enfants dans les transports en commun pour voir comment ils répondent au regard des inconnus bienveillants, comment ils les observent et leur sourient.
