Interview sur la sortie du livre « Améliorez vos relations et vivez mieux »

Interview pour le site « Apprendre à apprendre » sur la sortie du livre  » Améliorez vos relation et vivez mieux » et les différents thèmes que j’y aborde. En voici le premier qui concerne la difficulté de trouver ce que l’on veut vraiment.

 

Partie 1


Pourquoi est-il si difficile de savoir ce que l… par Apprendre-a-apprendre

Qui est client pour le burn out ?

Les clients pour le burn-out sont généralement présentés comme des professionnels perfectionnistes, passionnés par leur travail et qui se laissent grignoter progressivement par lui. Les signes de reconnaissance qu’ils attendent en retour ne viennent jamais assez nombreux et ils finissent par craquer, vidés d’énergie et dans les cas les plus graves, comme morts psychiquement. Le plus souvent, l’entourage n’a rien vu venir.

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J’ai été interviewée…

Depuis la parution de mon livre : AMIS, TRAVAIL, FAMILLE, AMÉLIOREZ VOS RELATIONS ET VIVEZ MIEUX ! Editions Ixelles, Bruxelles, Février 2014, j’ai été interviewée par plusieurs journalistes :

–       Aurélia Dubuc m’a questionnée sur le sujet suivant : « Je n’aime pas ma belle-fille ou mon gendre… Comment faire ? ». C’était pour le site www.destinationsante.com Vous pouvez retrouver son article, paru le 17 janvier 2014 sur ce site en recherchant  le nom de l’article.

–       Valérie Josselin a publié mes réactions à son actu : Le nouveau plaisir de dîner entre filles parue dans le supplément Fémina du JDD du 6 avril.

–       Timothée Duboc m’a questionnée sur ma vision de la fête des mères pour un dossier sur la fête des mères qui est sorti dans le numéro du 22 mai du journal Le Pélerin.

–       Jean-François Michel a publié des extraits de mon livre sur le site www.apprendreaapprendre.com.  : Le premier s’intitule : Pourquoi n’est-il pas facile  de découvrir ce que l’on veut vraiment ? Il est déjà sur le site. Une interview audio  touchant à plusieurs sujets que j’ai abordés dans mon livre va y être progressivement. placée. Le premier extrait y est déjà sur le thème  de la difficulté à savoir ce que l’on veut faire. C’est vrai pour les lycéens mais aussi pour les adultes face à leurs projets amoureux.

–       Stéphanie Bujon m’a soumis des cas de femmes à la retraite pour le prochain numéro de Fémitude. Vous aurez la surprise de les découvrir dans le numéro 33 de septembre-novembre 2014 page 100 sous le titre « Amis, famille, amour. Mieux dans mes relations après la retraite ». Quatre situations fréquentes et des conseils utiles inspirés de l’analyse transactionnelle.

 

 

Interview pour l’Est républicain du 1er avril 2014

J’ai été interviewée par Karine Frelin au sujet de ma vision de l’école telle qu’elle apparaît dans le livre « Un élève est aussi un enfant ». Vous pouvez lire son article qui manifeste son intérêt pour le sujet, mais je tiens à signaler une coquille qui lui a échappé :  j’ai parlé des propositions qu’on pouvait lire ça et là pour améliorer les performances de l’école dont certaines sont  très sensées en apparence, mais impraticables, comme de nommer systématiquement des professeurs très expérimentés sur les postes les plus difficiles. J’ai bien dit « expérimentés » et non « inexpérimentés » comme c’est écrit. Nommer des professeurs inexpérimentés sur les postes les plus difficiles est malheureusement ce qui se passe dans la réalité.

En effet la logique voudrait qu’on envoie enseigner dans les classes difficiles des gens d’expérience, mais le système des mutations des professeurs à l’ancienneté  s’y oppose : les postes convoités sont  les plus confortables et les plus prestigieux, ceux de centre ville où les élèves sont de famille aisée, les loyers en centre ville étant plus élevés. Y accèdent ceux qui ont le plus d’ancienneté. Les professeurs les plus jeunes sont affectés dans les écoles difficiles. Ils sont plus jeunes, plus résistants, plus enthousiastes au départ, mais un certain nombre abandonne, faute de formation adaptée.

Il existe une exception, celle des enseignants spécialisés qui sont formés pour ça , mais peu nombreux. Un dispositif d’indemnité en direction des enseignants des Zones prioritaires a tenté de corriger ce défaut du système.

Mes principales critiques par rapport au système sont que l’on ne soutient pas suffisamment ceux qui travaillent vraiment bien et que peu de choses sont faites pour stimuler les professeurs à aller voir travailler leurs collègues et à les recevoir dans leur classe. La réticence à recevoir des collègues vient de la crainte d’être jugé. Des formations à l’observation aideraient à corriger ce travers ainsi qu’une formation à l’animation des groupes. Les sources modernes de la pédagogie sont issues de la formation d’adultes. Inspirons-nous de celle-ci!

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