Le pessimisme des français apparaît clairement dans les enquêtes d’opinion concernant leur avenir. Quelle peut bien en être la cause ? Est-ce récent ou ancien ?
Catégorie : Pratiques professionnelles
Les jeux psychologiques, les identifier et les éviter.
Le 18 février 2010, il s’est passé une scène peu ordinaire sur France Inter. Deux journalistes ont essayé de faire prendre conscience à leur invité, Bernard Henri-Lévy, de l’irritation qu’il provoquait chez certains par son comportement. Le premier, Nicolas Demorand, lui a demandé s’il savait pourquoi il énervait les gens et le second a tenté de le lui expliquer. Ni l’un ni l’autre n’a réussi, mais la question est intéressante, quoique davantage traitée dans le cabinet du psychologue ou du coach qu’en direct sur une chaine de radio.
L’école à bout de souffle, un documentaire de Marina Julienne sur France 5
Le film que j’ai vu le mardi 10 janvier 2012 commence par le rappel des mauvaises performances de l’école française : un système élitiste qui favorise les meilleurs, un nombre trop important d’élèves qui sortent du système sans diplôme. Un système toujours plus sélectif
un livre écrit à trois sur les élèves/enfants
J’ai écrit le livre : « Un élève est aussi un enfant » avec Françoise Hénaff et Christiane Salon. Nous pensons toutes les trois que la morosité des français s’explique en bonne partie par la manière dont ils ont été traités à l’école à une époque qui aurait du être marquée par la joie de découvrir le monde et le plaisir d’apprendre. En effet les personnes en formation d’adultes témoignent qu’elles ont un très mauvais souvenir de l’école, ce qui ne les empêche pas de demander à l’école d’agir avec leurs enfants selon les mêmes modèles. Or on oublie trop qu’un élève est aussi un enfant, c’est à dire un être en construction qui apprend à parler et à réfléchir à l’école, car c’est là qu’il passe l’essentiel de son temps.
Nous, Princesses de Clèves, un documentaire de Régis Sauter
Le titre du film présente les adolescents des quartiers nord de Marseille, élèves du Lycée Diderot et qui participent à des ateliers théâtre, comme autant de princesses de Clèves. C’est surprenant et pourtant particulièrement bien venu car d’une certaine manière ils vivent dans un monde qui a, psychologiquement, bien des ressemblances avec celui du roman.